DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

vendredi 14 mai 2010

3637. LES MAÎTRES DU MONDE PENSENT EN PUBLIC


LES FRÈRES DESMARAIS SE LIVRENT

13 mai 2010
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/05/20100513-182609.html

Les frères Desmarais ont affronté une meute de journalistes à l’occasion de l’assemblée annuelle de Power corporation. A l'ordre du jour, marée noire, crise financière, et commission unique.

LA CRISE FINANCIÈRE, LE CANADA ET LA CONFIANCE :

Selon eux, le monde est passé au travers d’une crise financière gigantesque.

Sans l’argent public investi dans le système financier, il se serait effondré.

Le public a perdu confiance.

« Pour retrouver la confiance des investisseurs, il faudra une discipline fiscale rigoureuse des gouvernements, une élimination progressive des moyens monétaires et une révision modérée de la réglementation. Le Canada a fait exception grâce à une réglementation prudente du système financier et une utilisation modérée de l’effet de levier. »

[Pas un mot sur les banquiers, boursicoteurs, joueurs de poker qui ont fait sauter le fusible du système de Marché Libre. Qui, on vient de se rendre compte - mais instantanément oublié car TOUT LE MONDE a intérêt à ce qu'on oublie la machine à saucisses- que le Marché Libre n'existe pas puisqu'il ne peut résister à la liberté. Il ne peut durer et survivre que grâce à bouches à bouches réguliers des États et une surveillance constante.]

« Nous appliquons à nos entreprises un modèle de gouvernance qui a résisté à l’épreuve du temps. Il est fondé sur le maintien de la confiance entre les propriétaires, les dirigeants, les employés et les clients. »

TOTAL ET LA MARÉE NOIRE DU GOLFE DU MEXIQUE :

Les plates-formes pétrolières de Total ont-elles tout en place pour éviter une marée noire dramatique comme celle qui existe dans le golfe du Mexique?

« Nous avons immédiatement posé cette question au conseil d’administration de Total. »

COMMISSION DES VALEURS MOBILIÈRES UNIQUE AU CANADA :

Aujourd’hui, les frères Desmarais étaient beaucoup plus prudents qu’hier sur leur soutien québécois :

« Il est sain d’essayer d’améliorer le système, de le mettre en perspective internationale. Que les gouvernements se parlent est nécessaire, on va voir ce qu’ils nous proposent. L’important est que les compagnies soient bien servies. On n’a rien d’autre à ajouter. »

GESCA-LA PRESSE :

Normalement silencieux sur leur filiale québécoise de la presse, les frères Desmarais ont été plus volubile :

« La Presse était trop endettée. La restructuration de l’entreprise lui a permis de réduire sa dette et de repartir sur de nouvelles bases grâce à une entente avec ses employés. Il y a un avenir pour l’écrit de qualité. Les façons de faire devront simplement s’adapter ».

[On prétendait que la Presse était déficitaire ce pour quoi on exigeait des concessions de la part des employés mais jamais on n'a voulu montrer les chiffres au syndicat. Donc on mentait. Mais comme ils étaient les plus forts, il a bien fallu que les plus faibles fassent ce que le plus fort exigeait. ]

PROJET DE RÉGLEMENTATION FINANCIÈRE INTERNATIONALE :

Au sujet de la crise mondiale, ils sont très préoccupés par le mouvement réglementaire :

« Ce type de réglementation ne devrait pas être intégralement appliqué au Canada. Les banques canadiennes ont bien traversé la crise. »

[Accidentellement. On oublie, car on fait tout pour ne jamais le rappeler que pendant des années, les banques Canadiennes ont pleurés pour qu'on assouplissent les règlements qui les «rendaient moins concurrentielles» faces à règlements allégés des autres. Et elles voulaient pouvoir fusionners pour être «plus grosses» et «pouvoir mieux compétionner» dans un monde mondialisé où ce sont les plus gros joueurs qui gagnent. Grossir et aussi pouvoir «accueillir» plus de capitaux étrangers tout en bénéficiant aussi des avantages fiscaux et légaux des entreprises Canadiennes. Grossir et pouvoir éventuellement être racheté par les banques US ce qui aurait donné des parachutes dorés resplendissants à ceux qui auraient eu la chance d'être au bon moment dans le poste de pilotage ou dans le C.A. et être en position d'approuver cette «occasion d'affaire» «favorable aux actionnaires». C'est le gouvernement de l'époque qui les a empêché d'atteindre cet idéal. Tout en leur permettant de mettre les pieds dans les assurances, le courtage, l'immobilier, tout ce qui a conduit à la situation actuelle. Aux USA où tout est encore plus centralisé. Et ici. N'oublions pas que les banques Canadiennes dont on vante la sagesses (imposée - on vient de le voir) n'ont dû leur survie, non à leur préscience mais au fait que le gouvernement Canadien Conservateur (lui qui aime tellement le Marché Libre) a racheté pour 100 milliards (on ne sait le montant exact et on ne le saura jamais) les obligations pourries et autres papiers ocmmerciaux. À leur valeur maximale. En disant qu'on les revendrait bien dans 30 ans ce qui permettrait au gouvernement de rentrer dans son $. Sinon, il aurait fallu que les banques inscrivent dans leur bilan la perte. Et elles auraient toutes été en faillite. Et n'oublions pas non plus que la surprenante bonne santé des banques après leur récent malaise qu'on explique par leur vigueur concurrentielle retrouvée est simplement le fait d'une addition. Le gouvernement US (et Canadien) leur a prêté de l'$ à zéro % d'intérêt. $ qu'elles ont reprêtés à leurs clients aux taux normal. Rien que pour les hypothèque à 5%, ça fait un bon bénef. N'oublions pas non plus, en ce qui concerne la sagesse de nos élites que si l'État-Major Canadiene avait été laissé à son enthousiasme délirant, on serait en Irak depuis 2001. Avec des tas et des tas de morts. C'est seulement la sagesse et la prudence de monsieur Jean Chrétien - en prononçant ces mots je me cogne la tête contre le bureau- qui a empêché nos nobles penseurs (même pas capable de protéger le Manège Militaire de Québec qui a passé au feu lors de l'installation de gicleur d'incendie. Ce qui dit tout. ]

« Des réserves de capitaux trop élevées qui leur seraient imposées risqueraient de rendre l’activité financière des banques beaucoup plus difficile. Une réforme ne devrait être appliquée que graduellement au Canada. Il est inutile de donner un médicament à quelqu’un de bien portant. »

[?]