DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP

DOUTEUR EST L'AMI DE MONSIEUR HENRY DICKSON ET DE MONSIEUR MARCEL DUCHAMP ET L'AMI DE DAME MUSE ET DES MUTANTS GÉLATINEUX LGBTQ OGM ET DE MADEMOISELLE TAYTWEET DE MICROSOFT - SECONDE TENTATIVE OFFICIELLE D'Ai - INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - ET DE MONSIEUR ADOLF HITLER, CÉLÈBRE ARTISTE CONCEPTUEL AUTRICHIEN ALLEMAND CITOYEN DU MONDE CÉLÈBRE MONDIALEMENT CONNU - IL EST DANS LE DICTIONNAIRE - SON OEUVRE A ÉTÉ QUELQUE PEU CRITIQUÉE MAIS ON NE PEUT PLAIRE À TOUT LE MONDE ET PERSONNE N'EST PARFAIT ! VOILÀ!

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR

DOUTEUR EST L'AMI DU PROFESSEUR BULLE QUI EST L'AMI DE DOUTEUR
DOUTEUR - DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DU DOUTE EST AMI DU PROFESSEUR BULLE - DE L'INTERNATIONALE SITUATIONISTE CONSPIRATIONNISTE - DES THÉORICIENS DU COMPLOT ET DES CONSPIRATIONS ET DES COMPLOTISTES ET CONSIRATIONISTES - AMI DES THÉORICIENS DU NON COMPLOT ET DES THÉORICIENS DE L'EXPLICATION ET DE L'UNION DES JOVIALISTES ET INTELLECTUELS ORGANIQUES - AUTISTE ASPERGER GEEK RELATIVISTE CULTUREL PYRRHONIEN NÉGATIONNISTE RÉVISIONNISTE SCEPTIQUE IRONIQUE SARCASTIQUE - DÉCONSTRUCTEUR DERRIDADIEN - AMI DES COLLECTIONNEURS DE BOMBES ATOMIQUES - AMI DES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES ET FONDAMENTALES ET AMI DE L'ATOME CAR LA FUSION OU LA FISSION NUCLÉAIRE SONT VOS AMIS

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT

UN JOUR LES MUTANTS GOUVERNERONT LE MONDE - CE NE SERA PROBABLEMENT PAS PIRE QU'EN CE MOMENT
LES MUTANTS EXTERMINERONT OU NON LES HUMAINS - ET NOUS TRAITERONS PROBABLEMENT AUSSI BIEN QU'ON SE TRAITE NOUS-MÊMES ENTRE NOUS - ET PROBABLEMENT AUSSI BIEN QUE L'ON TRAITE LA NATURE ET TOUT CE QUI VIT

lundi 1 mars 2010

2839

LE QUÉBEC A BESOIN DE DÉCISIONS COURAGEUSES

Yves-Thomas Dorval, président du Conseil du patronat du Québec (CPQ)

Le Journal de Québec
p. 17, 8 février 2010
http://www.cpq.qc.ca/index.php?type=orphan&id=216

À la demande du Conseil du patronat du Québec, la firme Léger Marketing a sondé récemment 350 dirigeants d'entreprise, lesquels ont retenu les efforts et les résultats du gouvernement du Québec en vue de favoriser l'innovation, d'appuyer la liberté d'entreprise et l'entrepreneuriat, et d'assurer la mise en place d'infrastructures modernes.

Il convient donc de féliciter le gouvernement pour ses initiatives dans ces domaines et en particulier en matière de libre-échange puisque c'est sur cet enjeu qu'il obtient la plus haute note de la part des entreprises, sans doute le reflet du leadership personnel du premier ministre en vue d'élargir l'espace économique du Québec, tant à l'intérieur du Canada qu'avec la France et l'Union européenne.

RÉSULTATS MI-FIGUE MI-RAISIN

Toutefois, les dirigeants d'entreprise accordent actuellement une note de 5,3 sur 10 quant à leur satisfaction globale à l'endroit du gouvernement.

[OOOOOOO!]

Comment expliquer ce résultat mi-figue mi-raisin?

À notre avis, il faut y lire une volonté des chefs d'entreprise de voir le gouvernement prendre davantage de décisions courageuses pour l'avenir du Québec.

En effet, si les dirigeants d'entreprise savent reconnaître les initiatives et les résultats obtenus, ils souhaitent également que le gouvernement ait le courage de prendre des décisions plus difficiles au cours des prochains mois et des prochaines années.

À preuve, la majorité (62 %) des membres du CPQ pensent que les politiques publiques du Québec ont besoin de réformes fondamentales pour assurer la prospérité future du Québec, alors que seulement 4 % sont satisfaits des politiques actuelles qu'ils considèrent bonnes et suffisantes (le reste, soit moins du tiers, estime que de petits ajustements suffiront).

UN TEST IMPORTANT

Le prochain budget sera le premier rendez-vous important du gouvernement parce que c'est en matière de gestion des dépenses publiques qu'il récolte son score le plus faible (3,9 sur 10) de cette enquête.

Pour le guider dans ses décisions, le gouvernement devrait tenir compte des résultats suivants :

seulement 3 % des dirigeants estiment que la solution au déficit réside exclusivement dans l'augmentation des revenus;

dans une proportion de 95 %, ils appuient l'idée d'un « cran d'arrêt » qui obligerait le gouvernement à identifier des réductions de dépenses équivalentes chaque fois qu'il annoncera un nouveau programme, un nouveau projet ou une nouvelle politique;

[Pourquoi pas couper dans les subventions?]

en ce qui a trait aux taxes sur la masse salariale, seulement 7 % des entreprises sont d'avis que le gouvernement devrait continuer d'augmenter les cotisations pour rencontrer les coûts grandissants de ces programmes alors que près d'une entreprise sur quatre (39 %) est plutôt d'avis qu'il faut cesser d'augmenter les cotisations en réduisant certains bénéfices à l'intérieur de ces programmes, voire diminuer carrément les cotisations en réexaminant la structure de ces programmes (53 %).

À cet égard, l'opinion des chefs d'entreprise s'avère assez semblable à celle du grand public, mesurée par un sondage similaire effectué l'automne dernier.

[Le «grand public» est généralement employés des personnes ci-haut. Il sait se tenir. Et qui a le manche de la hache ou le bon bout du bâton - selon la méthophore que l'on préfère. Lors de l'analyse de cette danse sociale, seules les personnes dimimuées mentalament s'imaginent que les intérêts des uns et des autres coïncident.]

[Les sondages sont généralement faussés. Et on en connaît la chanson puisqu'ils arrivent inévitablement à la conclusion que le public vote contre ses intérêts.]

Les chefs d'entreprise ne sont donc pas des créatures distinctes du reste de la société.

Ils sont très souvent au même diapason qu'une grande partie de la population et le gouvernement pourra compter sur de larges appuis lorsqu'il entamera les réformes dont le Québec a besoin.

AUTRES ACTIONS REQUISES

Outre les considérations liées aux finances publiques, le gouvernement devra aussi profiter de son statut de gouvernement majoritaire pour s'attaquer aux autres domaines pour lesquels sa performance est actuellement jugée plus faible par les entreprises, soit l'établissement de règles d'éthique en matière de gouvernance dans le secteur public, la mise en place d'un système de taxes et de cotisations sur la masse salariale qui soit compétitif, la simplification de la législation à laquelle sont soumises les entreprises et, enfin, la création d'incitatifs à la productivité et à la performance pour les entreprises.

[Peut-on choisir entre les subventions, les crédits d'impôts ou le peleton d'exécution pour «motiver» les entrepreneurs. Il faudrait savoir varier les «incitatifs».]